sabato, ottobre 16, 2010

Opéra de Vichy, et voilà ''Les ballets Trockadero de Monte Carlo''


Dans le cadre de l'année France Russie Les Visiteurs du Soir présentent

LES BALLETS TROCKADERO

DE MONTE CARLO

La fantaisie la plus débridée alliée à la rigueur et à l'exigence de la danse classique

Directeur général, Eugéne McDOUGLE
Directeur artistique, Tory DOBRIN
Directeur associé, Isabel MARTINEZ RIVERA
Maître de ballet, Paul GHISELIN
Maitresse de ballet, Iliana LOPEZ
Lumières, Paul FRYDRYCHOWSKI


Swan Lake
Pas de Deux
Go for Barocco
Paquita

Les danseurs

Robert CARTER, Roberto FORLEO, Claude GAMBA, Paul GHISELIN, Joshua GRANT Brock HAYHOE, Chase JOHNSEY,
Christopher LAM, Roberto LARA, Long ZOU, Davide MARONGIU, Fernando MEDINA GALLEGO, Raffaele MORRA, Aviad HERMAN, Giovanni RAVELO, Chris MONTOYA, Or SAGI, Emanuel ABRUZO

Depuis 30 ans, les Ballets Trockadero, troupe de danseurs travestis, réjouissent les spectateurs du monde entier avec leur reprise des grandes pièces du répertoire classique. Ils sont à l’Opéra de Vichy avec quatre pièces variées en tonalité alliant une connaissance et une technique de la danse irréprochable à un humour irrésistible, tout en démontrant à la stupéfaction générale que les hommes pouvaient réellement danser « en pointe » sans perdre l’équilibre. Ainsi romantisme, brio, exultation et comédie narrative seront présents, mais sous une forme… étonnante.

LE PROGRAMME

Swan Lake


Emporté dans le royaume magique de cygnes (et autres volatiles), cette fantasmagorie élégiaque de variations et d’ensembles artistiques en ligne et en musique constitue l’ouvrage de référence des Ballets Trockadero.L’histoire d’Odette, la belle princesse changée en cygne par la diabolique sorcière et presque sauvée par l’amour du Prince Siegfried, n’était pas un thème si insolite lorsque Tchaikovsky écrivit son ballet en 1877 – la métamorphose de mortels en oiseaux et vice versa intervient fréquemment dans le folklore russe. La représentation originale du cygne au Théâtre Bolshoï à Moscou n’a pas remporté beaucoup de succès; un an après la mort de Tchaikovsky, en 1893, le ballet Maryinsky de Saint- Pétersbourg créa la version que nous connaissons aujourd’hui. Peut-être le ballet le plus connu au monde, son charme semble provenir des qualités mystérieuses et pathétiques de l’héroïne, juxtaposé au charme sanctifié de la Russie du XIXe siècle.


Pas de Deux


Le « Pas de Deux » est la pièce centrale de « Don Quixote ». Ce ballet fait constamment partie du répertoire du Ballet du Bolshoi depuis 1869, et fut l’un des premiers triomphes de Marius Petipa quand il remonta sur scène à St Petersbourg. « Don Quixote » est ce que les Russes appellent affectueusement une « comédie robuste », qui n’a pas grand chose à voir avec le roman de Cervantes, mais rempli de vives danses espagnoles, et empreint de la rage des ballets russes. D’abord dansé par la célèbre Sobeshanskaya, toutes les grandes ballerines y compris Pavlova, Karsavina, Plisestskaya, Maximova, Kolpakova, et Gregory ont interprété ce fameux « Pas de Deux ».


Go for Barocco


Héritier stylistique de la période bleu moyen qui tend vers le noir et blanc de Balanchine, ce ballet est devenu une référence de la fraîcheur austère et la description choré-symphonique dans la nouvelle (néo) néonouvelle danse classique. Il a été qualifié de montre-bracelet donnant l’heure de Balanchine.


Paquita


« Paquita » est un merveilleux exemple du style français tel qu’il était exporté à Saint-Pétersbourg à la fin du XIXe siècle. Effectuant sa première à l’Opéra de Paris en 1846, le ballet fut produit une année plus tard en Russie par Marius Petipa. « Paquita » était à l’origine un ballet pantomime en actes, dont la chorégraphie revenait au maître Joseph Mazillier, et la musique à Ernest Deldevez. L’histoire avait un thème espagnol avec Carlotta Grisi (créatrice de Giselle) interprétant une jeune femme enlevée par des gitans, qui sauve un jeune et bel officier de la mort certaine. En Russie, le nouveau maître des ballets Petipa chargea Ludwig Minkus, le compositeur de ses deux plus récents succès (« Don Quixote » et « La Bayadère ») d’écrire des musiques supplémentaires de façon à pouvoir ajouter un brillant « divertissement » à la Paquita de Mazillier. Pour cela, Petipa créa un Pas de Trois et un Grand Pas de Deux avec son style inimitable.
Ils devinrent rapidement les points forts de l’exceptionnelle soirée – au point qu’ils restent les seuls fragments préservés de « Paquita ».
Les danseurs explorent la palette de feux d’artifice chorégraphiques, exploitant les possibilités virtuoses de la danse classique académique, enrichies par la combinaison inattendue des pas.


(Communiqués de presse/Opéra de Vichy)



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